Des journalistes dubitatifs face aux propos de Willy Schraen: “La nature, c’est privé” !

Sur le plateau du talk show de Novo19, Willy Schraen a dû rappeler aux journalistes et chroniqueurs présents que la nature était privée et que les chasseurs n’avaient pas à être agressé ou insulté par les personnes à qui ils tolèrent de circuler sur leurs territoires. Visiblement, ses propos ont semblé déplaire ou du moins ébranler son auditoire

Willy Schraen invité initialement pour parler de la prolifération des sangliers

Mardi 2 décembre, Willy Schraen, le président de la fédération nationale des chasseurs (FNC) était l’invité de Claire Arnoux sur le plateau de l’émission “On a du nouveau” sur la chaîne Novo19 appartenant au groupe Ouest-France et diffusée depuis quelque temps sur le canal 19 de la TNT. Face à la journaliste/présentatrice et ses chroniqueurs, dont Claude Askolovitch, le patron des chasseurs initialement accueilli pour évoquer la problématique de la prolifération du sanglier et ses nuisances à dû faire face à la sempiternelle question des dangers de la chasse vis à vis des promeneurs et autres joggeurs se sentant en insécurité dans la nature en période de chasse.

Et encore obligé de rappeler que non, la nature n’appartient pas à tout le monde !

Comme vous allez pouvoir le constater dans cet extrait vidéo proposé sur la page Facebook de ce talk show, le chasseur nordiste, a dû pour la énième fois rappeler à son auditoire qu’avant tout, “non la nature n’appartient pas à tout le monde” , le président de la FNC a enfoncé le clou: “La nature, c’est privé. Les champs c’est privé. La forêt, c’est privé. Les marais c’est privé. La part publique de la nature qui est mise à disposition est inférieure à 10% au niveau national“. Le truculent président des chasseurs hexagonaux a ensuite enchainé en expliquant que les chasseurs qui pratique “une activité légale“, “chez eux“, n’ont pas à se faire insulter et stigmatiser par des gens à qui ils tolèrent de circuler sur leurs territoires et a rappelé l’importance du dialogue et du bien vivre ensemble. Visiblement, comme vous allez le découvrir, ses propos, pourtant frappé du sceau du bon sens, semblaient engendrer une certaine perplexité parmi son auditoire médiatique :